Kali.SsBbw Grisettes de Montpellier
Nombre de messages : 6712 Age : 41 Localisation : Rive-Sud de Montréal Date d'inscription : 20/02/2007
| Sujet: Hélène Jégado Sam 29 Mar - 9:50 | |
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La légendaire empoisonneuse bretonne. Devenu un mythe, une légende, des chants.
Hélène Jégado est née en 1805 à Kerhordevin en Plouhinec, près de Lorient (Bretagne). Orpheline, elle est d’abord recueillie par un curé, qui la place très jeune comme domestique . Son premier amour meurt rapidement dans un accident de voiture . En 1833, elle est engagée par le vicaire de Guern. 7 Personnes trouvent la mort, ont accuse le mauvais sort. Elle part et travail à ; Bubry, à Auray, à Locminé, Pontivy, Hennebont, Lorient. Le mauvais sort la suit, la suit tellement que plus d’une quarantaines de personnes meurt. De tout âges, de tout sexe, Emile Jouanno 14 ans, Marie Berger 2 ans, Albert Rabot 9 ans, Joseph Oranne 5 ans. En 1841, elle arrive a Renne. Elle est engagée à l’hôtel du Bout du Monde, place Saint Michel. Réprimandée à cause de sa saleté et de son goût pour la boisson, elle essaye donc d’empoisonner sa chère patron, faute d’arriver à le tuer, elle se rabat sur la femme de chambre, qui en décède. En 1850, Hélène Jégado entre au service de Mr Bidaddelarbe, avocat et professeur de droit. Rose Tessier, sa femme de chambre meurt peut après. Françoise Huriaux qui la remplace est elle, obligé de retourner chez sa mère faute de maladie soudaine. Rosalie Sarrazin qui succède, la nouvelle remplaçante, décède peut après son arrivé.
Hélène est démasquée, grâce a ses trois dernière victimes, l’autopsie révèle que les vicaires a une forte teneur en arsenic. Elle sera aussi suspectée de plus de 45 autres meurtres mais elle ne sera inquiétée par le manque de preuves. Son procès s’ouvre fin 1851, elle n’avoue rien, son avocat plaide la folie. Elle est déclarée coupable et condamné a mort, sa grâce est rejeté, elle doit passer sous la guillotine. Alors que Hélène Jégado monte a la guillotine, elle avoue tout, elle déclare que ses crimes étaient plus nombreux que ceux découvert et quelle avait formé une autre femme, au secret de l’arsenic. C’est la même année, 1851, que la tête, de la Jégado roula dans le panier du bourreau, mais ses actes sont toujours chantés en Bretagne.
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