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 Gilles de Rais

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~Dominique~
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~Dominique~


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MessageSujet: Gilles de Rais   Gilles de Rais Icon_minitimeMar 16 Oct - 14:28

Gilles de Rais 200pxgillesderais122d81ai3

Gilles de Montmorency-Laval, baron de Rais
, comte de Brienne, dit Gilles de Rais (ou Gilles de Retz, ou Gilles de Rays), surnommé Barbe-Bleue (né en septembre ou octobre 1404 au château de Machecoul - décédé le 26 octobre 1440 à Nantes), maréchal de France, compagnon de Jeanne d'Arc.
Apparenté à la famille de Laval et de Montmorency, il fut exécuté par pendaison pour meurtres et sorcellerie.

Seigneur de Rais, d’Ingrandes et de Champtocé-sur-Loire, ses immenses revenus, ses alliances avec de grandes familles nobles, sa parenté avec la famille royale de France et la dynastie ducale de Bretagne, firent de lui un des seigneurs les plus en vue de son époque.

Seigneur de Rais

En 1400, Jeanne Chabot, dame de Rais, dite Jeanne la Sage (1331-1406),
dernière héritière de la famille de Rais, désigna Guy de Laval-Blaison
(fils de Guy de Laval dit Brumor de Laval et petit-fils de Foulques de Laval),
futur père de Gilles de Rais, comme seul héritier, à l'unique condition
qu'il abandonnât pour lui et ses descendants le nom et les armes de
Laval, pour prendre les armes et le nom de Rais. Il hérite de ce fait
des seigneuries de Machecoul, Saint-Étienne-de-Mer-Morte, Pornic, Princé, Vue, Bouin, qui forment la baronnie de « Rais », correspondant peu ou prou à l'actuel Pays de Retz).

Guy de Laval-Blaison, après avoir consenti en février 1404 au mariage avec Marie, la fille de Jean de Craon, devient baron de Rais, doyen des barons de Bretagne, titre dont son fils aîné Gilles héritera.
Après la mort de sa mère en 1415 et de son père la même année (ou au commencement de l'année 1416), Gilles et son frère René sont élevés par leur grand-père maternel, Jean de Craon,
à la réputation sulfureuse, contrairement au vœu formulé par leur père
qui, dans son testament, avait désigné pour tuteur un certain cousin,
Jean de Tournemine, seigneur de La Hunaudaye.

Après deux fiançailles rompues par la mort prématurée à chaque fois
de la fiancée, Gilles de Rais, respectant le contrat de mariage signé
le 30 novembre 1420, finit par se marier le 26 juin 1422. Il épouse en l'église Saint-Maurille de Chalonnes-sur-Loire, Catherine de Thouars qu'il aurait prétendument enlevée dans ce but, le 24 avril 1420. Son épouse lui donna une fille, Marie de Laval (1429-1457), qui épousera l'amiral Prigent de Coëtivy puis le maréchal André de Lohéac

Un héros de la guerre de Cent Ans


Petit-neveu du connétable Bertrand Du Guesclin — le héros du siècle précédent dans les premières luttes de cette interminable guerre contre les Anglais — Gilles de Rais entreprend une carrière militaire, qui allait se révéler brillante. Il s'illustre d'abord sous les ordres de Jean V de Bretagne en prenant une part active dans les querelles résiduelles de la Guerre de succession de Bretagne entre les Montforts et les Penthièvres (1420).
Il combat ensuite contre les Anglais à partir de 1427 (jusqu'en 1431). Étant passé au service du roi de France Charles VII, il emporta d'assaut, en 1427, le château du Lude, dont il tua le commandant. Il reprit encore aux Anglais la forteresse de Rainefort (Rennefort) et le château de Malicorne-sur-Sarthe, dans le comté du Maine.

Gilles de Rais 300px-Trait%C3%A9_de_Troyes.svg

1429

██ Territoires contrôlés par Henri V d'Angleterre

██ Territoires contrôlés par le duc de Bourgogne

██ Territoires contrôlés par le Dauphin Charles

██ Principales batailles


Lors de la guerre de Cent Ans, dont il sera un des héros, on le trouve notamment aux côtés de Jeanne d'Arc. En 1429, il fut un des principaux capitaines qui aidèrent Jeanne d'Arc à faire entrer des vivres dans Orléans, et il se distingua à la prise de Jargeau le 12 juin 1429.
Après l'éclatante victoire de Patay, Charles VII est sacré roi de France à Reims le 17 juillet 1429, et Gilles de Rais, mandaté « d'aller quérir la Sainte Ampoule » est nommé maréchal de France par ce dernier en guise de récompense pour ses valeureux services. Il était de plus conseiller et chambellan du roi.
Son échec, avec Jeanne d'Arc, lors du siège de Paris — dû à une trahison de La Trémoille
qui a fait se replier l'armée française — entraîne son discrédit auprès
de la Cour et l'incite à se retirer sur ses terres et en particulier
dans son Château de Tiffauges en Vendée, lieu où se seraient déroulés les crimes dont il fut accusé.
Il se signala, en 1430, à la prise de Melun, et l'année suivante à la levée du siège de Lagny-sur-Marne par les Anglais. En 1436, il commandait avec le maréchal Pierre de Rieux l'avant-garde de l'armée française, sous les ordres du connétable de Richemont. Cette armée étant arrivée devant Sillé-le-Guillaume dans le Maine en présence des Anglais, les deux partis se séparèrent sans combattre.


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~Dominique~
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MessageSujet: Re: Gilles de Rais   Gilles de Rais Icon_minitimeMar 16 Oct - 14:28

Un patrimoine considérable



Héritier à vingt ans d'un patrimoine considérable, il fut marié à
Catherine de Thouars qui lui apporta en dot de nombreuses terres en
Poitou. Il devint en 1432
l'un des plus riches seigneurs du royaume après la mort de son aïeul
maternel, Jean de Craon, seigneur de la Suze, de Champtocé, d'Ingrande,
etc. On évaluait sa fortune à trois cent mille livres de rente, sans
compter les profits de ses droits seigneuriaux, les émoluments de ses
charges et un mobilier de cent mille écus d'or. Mais il en eut bientôt
dissipé la plus grande partie par ses prodigalités, son faste et ses
débauches.
Il eut d'abord une garde de 200 hommes à cheval, dépense que les
plus grands princes pouvaient à peine soutenir dans ce temps-là, et il
traînait en outre à sa suite plus de cinquante individus, chapelains,
enfants de chœur, musiciens, pages, serviteurs, etc., la plupart agents
ou complices de son libertinage, et tous montés et nourris à ses
dépens. Sa chapelle était tapissée de drap d'or et de soie. Les
ornements, les vases sacrés étaient d'or et enrichis de pierreries. Il
avait aussi un jeu d'orgues qu'il faisait toujours porter devant lui.
Ses chapelains, habillés d'écarlate doublé de menu vair et de petit
gris, portaient les titres de doyen, de chantre, d'archidiacre, même
d'évêque, et il avait de plus député au pape pour obtenir la permission
de se faire précéder par un porte-croix. Il donnait à grands frais des
représentations de Mystères, les seuls spectacles connus alors.
Pour se livrer à ces profusions, il aliéna une partie de ses terres à
Jean de Malestroit, évêque de Nantes, aux chapitres de la cathédrale et
de la collégiale de cette ville.

Mais
tout cela occasionnait des frais énormes qui l'obligèrent en 1434, à
vendre à Jean V le Sage, duc de Bretagne, les places de Mauléon,
Saint-Étienne-de-Mer-Morte, Le Loroux-Bottereau, Pornic et Champtocé.

Six ans jour pour jour après la prise d'Orléans du 8 mai 1429,
Gilles de Rais offrit à la ville d'Orléans une série de reconstitutions
de la bataille jouée par des centaines d'acteurs nourris, logés et
changés à chaque représentation. Ce fut lors de ce « Mystère du siège d'Orléans »
dont les représentations durèrent un an, et de ses frais énormes, que
les difficultés financières du prince prirent un tour dramatique, sans
espoir d'y remédier. Face à cela sa famille fut incitée à lui intenter
un procès (qu'elle gagna) afin d'interdire à quiconque d'acheter des
terres lui appartenant. Elle obtint un arrêt du parlement de Paris
qui défendait au maréchal d'aliéner ses domaines. Le roi n'ayant pas
voulu approuver les ventes déjà faites, le duc de Bretagne s'opposa à
la publication de ces défenses et refusa d'en donner de semblables dans
ses États.

René de la Suze, frère de Gilles, et ses cousins André de Lohéac et Guy XIV de Laval,
irrités de ce refus, tâchèrent de conserver ces places dans leur maison
et résistèrent au duc ; mais ce dernier les reprit et enleva à son
gendre
Guy XIV de Laval la lieutenance générale de Bretagne pour la confier à
Gilles de Rais, avec lequel il consomma tous ses marchés en 1437.

Alchimie et magie

Ses ressources ne suffisant pas à Gilles de Rais, ce dernier avait
depuis longtemps cherché d'autres moyens pour s'en procurer. Assez
instruit
pour son siècle, il eut recours à l'alchimie. De prétendus adeptes lui
apprirent le secret de fixer les métaux ; mais il manqua le grand œuvre.
Dégoûté de l'Art d'Hermès, il se jeta dans la magie. Un Anglais, nommé
messire Jean, et un prêtre Florentin, François Prelati, furent
successivement ses maîtres et l'aidèrent dans ses conjurations. On dit
qu'il promettait tout au diable, excepté son âme et sa vie. Mais tandis
qu'il prodiguait l'encens au démon et qu'il faisait l'aumône en son
honneur, il continuait ses exercices pieux avec ses chapelains, alliant
ainsi une extrême superstition aux pratiques les plus impies et à la
dépravation de mœurs la plus criminelle.
En effet, il semble que ce fut à cette époque qu'il commença
d'immoler des enfants, soit pour mettre plus de raffinement dans ses
plaisirs abominables, soit pour employer leur sang, leur cœur ou
quelques autres parties de leurs corps dans ses charmes diaboliques.
Des parents, des amis de Gilles de Rais comme Princay, ou Roger de
Briqueville, ou encore Gilles de Sillé, semblent même avoir été les
complices de ses horribles débauches, soit en lui procurant des
victimes, soit en maltraitant ou en menaçant les parents pour étouffer
leurs plaintes.

Un criminel présumé hors du commun



Dès la Pentecôte 1440, un conflit larvé s'installe entre Gilles de Rais et l'Église,
qu'il aurait défiée en reprenant par la force une de ses possessions
(Voir liens externes). De ce fait, Gilles de Rais tombe sous la
juridiction de l'Église, et permet à celle-ci de lancer parallèlement
une procédure pour enquêter sur les rumeurs qui courent à son encontre.
Le 13 septembre 1440, Jean de Malestroit, l'évêque de Nantes
cite Gilles de Rais à comparaître après avoir recueilli des témoignages
et des rumeurs sur les exactions de celui-ci. Il est accusé d'avoir violé, torturé
et assassiné 140 enfants, notamment dans le cadre de rites sataniques,
durant les huit années précédentes. Les chefs d'accusation sont les
plus graves de l'époque : « sodomie, sorcellerie et assassinat ».
Gilles de Rais, manifestement convaincu qu'il est trop puissant pour
craindre quoi que ce soit, se laisse capturer. S'ouvre alors
l'instruction du procès civil qui va être l'instrument de sa chute. Il
est emprisonné dans le château de Nantes
tandis que le duc de Bretagne charge son commissaire, Jean de
Toucherond, de commencer une enquête. Deux des gens de Gilles de Rais
sont arrêtés, Henriet et Étienne Corillaut dit Pontou ou Poitou.
Le procès qui s'ouvre à Nantes le 8 octobre 1440 est très bien préparé et suit une stratégie machiavélique
visant à le désarmer. Gilles de Rais a la possibilité de récuser les
juges pour partialité à l'ouverture du procès, mais l'acte d'accusation
ne fait alors état que d'un acte véniel, ce qui soulage l'accusé qui
reconnaît la compétence des juges.
Ce n'est qu'à la deuxième audience, le 13 octobre 1440, que l'acte
d'accusation complet est dévoilé, mais il est alors trop tard pour
l'accusé de récuser les juges. Gilles de Rais se rend compte qu'il a
affaire à un dossier d'accusation très étoffé et que de plus, son
incarcération délie les langues. Les témoignages à charge commencent à
affluer. Ses valets et ses complices qui l'auraient assisté dans ses
crimes, également arrêtés et le voyant sans ressources, se mettent à
l'accabler.
Gilles de Rais comprend alors qu'il a été piégé et qu'il ne pourra
résister longtemps face à ces accusations. Il s'emporte et se révolte,
ce qui entraîne en réaction son excommunication
par l'évêque qui préside le procès. Cette excommunication l’effraie et
il se résout alors à faire des aveux en échange de la levée de cette
sanction, ce qui lui est accordé.
Sa
confession, prononcée dans sa prison puis répétée à l'audience du 22
octobre, horrifie l'assistance tant les détails de la cruauté décrite
dépassent l'entendement.
Le maréchal de Rais s'était en outre rendu coupable du crime de félonie.
En effet, après avoir vendu à son suzerain la place de
Saint-Étienne-de-Mer-Morte, il s'en était remis en possession en
menaçant le gouverneur d'égorger son frère s'il ne la lui livrait pas.
Le
jugement est prononcé le 25 octobre par le tribunal présidé par le
procureur et sénéchal de Bretagne, Pierre de l'Hôpital : Gilles de Rais
et ses deux valets sont condamnés à être pendus puis brûlés.
À sa demande, le tribunal lui accorde trois faveurs: le jour de
l'exécution, les familles des victimes pourront organiser une
procession, il sera exécuté avant ses complices et son corps ne sera
pas entièrement brûlé puis inhumé.
Le lendemain matin, le 26 octobre 1440 après une messe à la Cathédrale Saint-Pierre de Nantes,
l'exécution est accomplie dans les prairies de l'île de La Biesse
(aujourd'hui l'île est rattachée à la berge gauche de la Loire, le
gibet avait été dressé à l'endroit de l'actuel Hôtel-Dieu). Tandis que
ses valets, Poitou et Henriet, sont laissés sur le bûcher, le corps de
Gilles de Rais en est retiré, avant d'être trop abîmé par les flammes.
Conformément à la requête qu'il avait formulée et qu'on lui avait
accordée avant son exécution, son corps est enseveli dans l'église du
monastère
des Carmes, à Nantes. Ce monastère et le monument funéraire dédié à sa
mémoire furent détruits durant la Révolution française.
Ce procès est l'un des tout premiers procès des barons du royaume,
qui jusque là étaient maîtres en leur baronnie, et ne relevaient de la
justice de personne.
Dans les souterrains du château de La Suze-sur-Sarthe
(72), lequel lui a appartenu, auraient ultérieurement été découverts
quelques 49 crânes humains. Il est aujourd'hui difficile de se
prononcer ni sur la réalité ni le nombre exact des victimes.
L'accusation lui a reproché 140 meurtres à l'époque. Gilles de Rais
disposait de ses hommes de main, qui auraient été parfois des anciennes
victimes, et auraient servi de rabatteurs. Ils auraient cherché dans un
premier temps les enfants livrés à eux-mêmes, sinon ils auraient engagé
des enfants à travailler au château (ce qui était un privilège), puis,
si les parents demandaient des nouvelles, on leur aurait rétorqué
souvent que leur enfant indigne s'était enfui.
Le
doute sur la culpabilité de Gilles de Rais a toujours régné, si bien
qu'en novembre 1992, un tribunal composé d'anciens ministres, de
parlementaires et d'experts s'est réuni au Sénat
pour se livrer à une révision du procès de Gilles de Rais, laquelle
révision à abouti à son acquittement. Ce jugement n'a qu'une valeur
indicative, aucune juridiction constituée n'étant compétente pour
réviser un procès du XVe siècle.
Dans son livre « Le procès de Gilles de Rais », paru en 1965, Georges Bataille voit en Gilles de Rais la figure exemplaire d’une époque de la féodalité
où la raison balbutiante n’avait pas encore muselé la fête archaïque de
la violence : « Sa noblesse a le sens d’une violence ne regardant rien
et devant laquelle il n’est rien qui ne cède».

Les spéculations autour de Gilles et de Jeanne

Le
fait qu'un criminel présumé de cette ampleur ait côtoyé Jeanne d'Arc, a
fait couler beaucoup d'encre chez les écrivains, qui ont fantasmé
autour de ce « démon à côté d'un ange ».
Les écrits de l'époque ne nous permettent en fait que de faire des
spéculations invérifiables sur le relationnel de Gilles et de Jeanne.
Il semblerait néanmoins que Gilles de Rais n'ait commencé ses forfaits
supposés qu'après l'épopée de Jeanne. Il est probable en revanche que,
fidèle à son éducation et à ses habitudes, Gilles de Rais ait eu un
tempérament violent lors des campagnes militaires. Si Gilles de Rais a
régulièrement manifesté pendant sa vie des comportements de personne
influençable et croyante, il était proche du parti de la Trémoille, qui
n'était pas admirateur de Jeanne d'Arc. Il demeure donc difficile de spéculer sur les relations entre Gilles et Jeanne

Postérité


Le
maréchal de Rais ne laissa qu'une fille, Marie de Laval, mariée deux
fois et morte sans enfants en 1458. Son oncle René de Laval hérita de
la seigneurie de Retz que sa fille unique, Jeanne de Laval, légua par
testament, en 1481, à François II, duc de Bretagne.

source wikipedia
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MessageSujet: Re: Gilles de Rais   Gilles de Rais Icon_minitimeMar 16 Oct - 14:41

Super intéressant! Shocked
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MessageSujet: Re: Gilles de Rais   Gilles de Rais Icon_minitimeMar 16 Oct - 14:46

je trouve aussi !
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